[L'auteur a généreusement partagé ce matériel de son Les Guillotinés de la Révolution Française. Nos lecteurs voudront peut-être visiter. — George P. Landow]

Il régne un "froid de gueux". De nombreux paysans, vivant hors des barrière de la capitale, n'ont eu d'autres ressources que de tailler les arbres à la hâte et de les dépouiller de leurs branches mortes. Le bois de Vincennes et celui de Boulogne, surtout, ont été dévastés. Devant l'ampleur du saccage, la Commune a dépêché un détachement de quatre cents gardes nationaux. Cinquante-sept pilleurs sont d'ores et déj^à la Conciergerie. Mais l'hiver est bien le principale coupable.


Dernière modification août 6 novembre 2010