[L'auteur a généreusement partagé ce matériel de son Les Guillotinés de la Révolution Française. Nos lecteurs voudront peut-être visiter. — George P. Landow]
Je soutien que dans la plus part des mandats d'amener décernés par le Comité de sûreté général, il n'y a jamais eu de délibération préalable, du moins trés rarement... Il n'y a pas de registre de correspondance, et, en général, si on examine tous les papiers contenus dans le Comité, on y trouvera le plus grand désordre.
Dernière modification août 6 novembre 2010