M. Street a été l'un des premiers architectes de la Renaissance qui a montré l'efficacité de l'architecture gothique peut être faite que si cela dépend simplement de l'effet sur la proportion artistique. À cet égard, il a apporté sur une grande réforme et utile dans la pratique de son art. Si Pugin et ses partisans puissent décorer leurs murs avec des panneaux sculptés, remplir leurs fenêtres avec des entrelacs, couronne de leurs contreforts avec à crochets pinacles, et d'enrichir leurs porches avec des niches à baldaquin, ils ont fait un ' renforcement des voyantes. Mais débarrassé de ces détails il fait piètre figure. Maintenant, si M. Street a été limité à la disposition des quatre murs, un toit, deux fenêtres, une porte, et un arbre de cheminée, sur les différents comprendre qu'aucun de ces éléments devaient être ornées dans le moindre degré, on peut être sžr qu'il les regrouper dans de telle façon à les rendre pittoresque. Rien ne peut être plus simple que ses œuvres à Cuddesdon et East Grinstead — il d'abord un collège, celui-ci dans un couvent. Ils ont littéralement pas d'architecture caractère delà de ce qui peut être assurée par de la maçonnerie solide, un toit à forte pente, et un peu de lucarnes. Mais il ya une véritable cachet sur chaque conception dont il est impossible de se méprendre. Ils sont la production de une main de l'artiste.

Peut-être il n'y a pas meilleur test de l'originalité de l'architecte dans la conception que quand il doit faire face à la conception d'une église de village très petit. Il doit avoir son sanctuaire, son porche, sa chaire, et son beffroi, mais il doivent être couvertes par un seul toit, et le pittoresque de la subdivision nefs est bien sžr hors de question. Comment une telle bâtiment que ce soit fait pour exprimer son but, à regarder intéressante, et de conventionnalité éviter? M. Street nous a montré comment le faire dans sa conception pour Howesham Eglise. Il a donné une abside du chœur PND, décoré ses fenêtres avec des escoinson arbres, le chœur rebroussement arc, la réduction de la chaire à un secteur peu dans le plan (qui n'était que le chose pour un coin), prévu un porche avec un bon petit appentis pour l'extrémité ouest, et porté une tourelle pittoresque clocher à ses côtés. L'effet de l'ensemble est charmant. Rien de mieux aurait pu être mis au point. Il est la simplicité même, mais la simplicité de sens et d'effet.

L'église de Saint-Philippe et Saint-Jacques, Nord Oxford. [Cliquez sur la vignette pour agrandir l'image.]

Dans sa plus grande œuvres de M. Street est tout aussi réussie. De tous les églises qu'il a construit il ya à peine un qui n'est pas remarquable pouvoir pour une certaine originalité du traitement. Et cette originalité est toujours garanti par des moyens légitimes, sans une approche de cette licence qui avec les résultats designer moins accompli dans des proportions extravagantes ou bizarrerie de détail. Il est par les départs légère et tempérées du types ordinaires de la forme et la décoration que cet architecte fréquemment assure une grâce surprenante de roman sans bizarreries de conception. Ainsi, dans l'église de SS. Philippe et Jacques, à Oxford, la tour qui s'élève dessus de l'intersection de la nef et des transepts est un peu plus large dans le plan du nord au sud qu'il ne l'est d'est en ouest. La division de la fenêtres hautes ne co•ncide pas exactement avec la division de la nef arcade. La fenestration du transept nord est différente de celle de la sud. Le bâtiment est enrichie par la couleur naturelle, et non pas en couvrant il plus avec rayures comme un zèbre, mais en introduisant des bandes de rouge pierre à de rares intervalles et en marquant les voussoirs de la même manière. La nef de cette église est d'une largeur inhabituelle par rapport à son bas-côtés, mais la baie la plus orientale de chaque arcade pentes légèrement vers l'intérieur pour répondre aux les piliers qui portent-la tour centrale. Cela forme un particulier et par aucun cas d'une fonctionnalité sans intérêt. Le toit nef, au lieu d'être ouverte à colombages et du type ordinaire, est plafonné à l'interne et prend la forme d'un arc brisé, décoré à intervalles avec des bandes de couleur. Le groupement pittoresque des fenêtres bas-côté, l'incrustation riches et la sculpture du retable (en effet accrue par contraste avec la plaine revêtement de murs et des meubles en bois simple du chœur), même le fer de travail de l'écran — sont tous plein de caractère, et ce genre de caractère qui si exprimé verbalement ne serait synonyme de grâce artistique. Une fois, et une fois seulement, dans ce bâtiment de l'architecte ne semble pas avoir dérivé en aléatoire, et c'est dans la conception de la fenêtre circulaire qui feux le pignon ouest. Mais là encore le résultat est plutôt étrange que désagréable. La meilleure vue de l'extérieur est certainement de l'extrémité est, où la tour centrale et sa flèche, passant de la crux avec un octagonal tourelle à l'angle sud-est, forme avec le choeur et tran- un groupe de septs admirablement composé, dans lequel deux architecturale caractéristiques constamment adoptée par M. Street — à savoir. l'abside ronde et les fenêtres à persiennes clocher — sont remarquables. [323-25]

Bibliographie

Eastlake, Charles L. A History of the Gothic Revival. Londres: Longmans, Green; N.Y. Scribner, Welford, 1972.


Victorian Lonndon Architecture George Edmund Street

Dernière modification 2 février 2008; traduction 11 septembre 2010