Le chœur de l'église de Saint-Jean à Torquay de George Edmund Street. 1869. Dessin de Eastlake, en face de p. 325. L'image numérisée et texte George P. Landow. [Vous pouvez utiliser cette image sans l'autorisation préalable à des fins scientifiques ou pédagogiques (1) si vous donnez du crédit à le photographe et (2) créer un lien dans votre document à cette URL (ou le citer dans un document imprimé.]

La Commentaire de Charles L. Eastlake (1872

Dans la construction de l'église marquée notamment, d'aujourd'hui diffre de celle qui a été menée sur le passé, et qui est dans la manire graduelle de son exécution. Il y a vingt ou trente ans, quand une église a été commencée, le grand objet était d'achever ds que possible, et de fournir un logement pour un certain nombre des adorateurs. L'argent accordés ou souscrits pour cet objet a été appliqué à la construction de toute la structure, qui est devenu simple ou ornée en proportion du montant des fonds disponibles. l'heure actuelle, il n'est pas rare du tout, lorsque les moyens sont limités, à commencer par la construction du chœur, et mme de l'enrichir et de le décorer avant le reste du bâtiment est terminée. Cela s'est produit avec deux églises de M. Street, viz. celui de la Toussaint, Clifton, et Saint-Jean à Torquay, à la fois admirables spécimens de sa capacité. Le chœur de la Toussaint est décoré l'intérieur avec de la pierre de trois couleurs différentes - blanc, gris bleuâtre, et la lumire rouge, judicieusement apposée dans la construction des quais, & c. Avec ces matériaux de construction, mais juste ces petits travaux sculpté est nécessaire, et d'un œil critique l'entaillage perpétuel de l'arc long des bords de cette église semble fastidieux. Il n'ya pas de type d'ornementation plus ou moins mécaniques intéressantes en soi que ce travail crantée et tant pensé et l'ingéniosité ont été décernés sur le bâtiment que l'on est impatient de détails qui ne présentent ni, et ont, par ailleurs, été terriblement galvaudé ailleurs. Le jubé est une instance de l'imagination luxuriante M. Street quand laisser libre de jouer avec airain et de fer, mais son élaboration est habilement concentré sur les parties supérieure et inférieure, de quitter le centre d'une grille transparente plaine de toits de forme octogonale.

Bibliographie

Eastlake, Charles L. A History of the Gothic Revival. Londres: Longmans, Green; N.Y. Scribner, Welford, 1972.


Victorian Lonndon Architecture George Edmund Street

Dernière modification 2 février 2008; traduction 11 septembre 2010